Or "Three of my favorite movies ever".
(Ou "Trois de mes films préférés au monde".)
First one : The Mummy (1&2, but I'll count them as one). I think I traumatized my best friends with it, forcing them to watch it in every language we could understand. What's not to love : fights, action, magic, fun and love (not too much, but not too little) ? Aww, come on !
(Le premier : la Momie - 1&2, mais ça compte que pour un. Je crois que j'ai traumatisé mes meilleures amies à force de le leur faire voir, dans n'importe quelle langue.
Franchement, des combats, de l'action, de la magie, du rire et une jolie histoire d'amour, il faut vraiment le vouloir pour ne pas aimer ces films.)
(O’Connel ! J’ai comme l’impression que c’est nous qu’avons les chevaux !)
Second one : The Italian Job. This one was a big problem to me : I remember my brother watching it, and not letting me come sit with him.
It has a good story, Minis, Charlize Theron and Jason Statham. And action. Lots of it.
(Second film : Braquage à l'Italienne. La plus grande frustration de mon enfance : je me souviens que mon frère le regardait et ne voulait pas me laisser le voir avec lui.
L'histoire est bonne, et il y a des Minis, Charlize Theron et Jason Statham. Et beaucoup d'action.)
Third and last one for today, Pitch Perfect. Love, humor, singing, Rebel Wilson and Anna Kendrick. GO.
(Troisième et dernier film pour aujourd'hui, The Hit Girls. De la romance, de l'humour, des chansons, Rebel Wilson et Anna Kendrick. Allez y, regardez le.)
(Bah, au moins c'est pas l'herpès.)
(C'est pas grave, Chloe. C'est juste Dieu qui te punit
Those are three of the the things that I have and like to use (nearly everyday, to everyday for the Ipod)
(Voici trois des choses que j'ai et utilise - tous les jours, dans le cas de l'Ipod, ou presque.)
My Ipod, its 800+ songs and 20+ books :
(Mon Ipod, ses quelques 800 chansons et 20 livres : )
My perfume, "Honey" by Marc Jacobs. Some pear, peach, vanilla, honey and apricot : it smells like summer, and I love it.
(Mon parfum, "Honey" de Marc Jacobs. Des notes de poire, pêche, vanille, miel et abricot : c'est toujours un petit peu l'été, j'adore ça.
My make up palette "Hot shades, cool colours" by Front Cover. I love all the colors it provides, and I wear them all (especially the red one, with black eyeshadow used as a liner).
(Ma palette "Hot shades, cool colours" de Front Cover. Toutes les couleurs sont magnifiques, et j'en porte la majorité (surtout le rouge, avec un trait d'ombre noire en liner).
What about you ? What are your three things ?
(Et vous, quelles sont vos trois choses ?)
Very short post today... I saw "Rise of the Guardian" tonight, and I loved it. I might have a crush on Jack Frost. *Blushes*
He's so lost at the beginning and still tries to make the children happy and how he acts with the Teeth Fairies... *Ahem.*
I also loved the side characters : North was really cool (who would have thought that he'd have a russian accent?), Bunny was very australian sounding and so sweet with the little girl, the Tooth Fairy was everything you'd want in a fairy (and she packs a punch) and Sandy, how can a mute character carry and give off that much feelings ?
Pitch was also a good villain : I admit, he made me uneasy and I jumped a few times. You didn't see it ? Here's the preview !
Un post très court ce soir. J'ai vu "Les cinq légendes", et j'ai vraiment bien aimé. Il se pourrait que j'ai eu un coup de coeur pour Jack Frost.
(Je suis sur la liste des méchants enfants ?)
Il est tellement perdu au début, mais il continue d'aider les enfants et de les faire rêver... Et la manière qu'il a de se comporter avec les Fées des Dents...
(Tu m'as mis ici, le moins que tu puisses faire
est de me dire pourquoi.)
Les autres personnages ne sont pas en reste : le Père Noel est trop cool (Et il a un accent russe de malade, dans la VO du moins), le Lapin de Pâques est génial (et il est trop mignon avec la petite fille), la Fée des Dents est tout ce qu'on voudrait dans une fée (et j'aimerais pas qu'elle m'en colle une), et quant au Marchand de Sable, comment un personnage muet peut il transmettre autant de sentiments ?
Le méchant, Pitch (Noirceur) en VO, n'est pas en reste : j'avoue qu'il m'a rendue mal à l'aise, et j'ai même sursauté.
Hey, today I bring to you two blogs held by one of my college friends. Not much text, she draws it all herself (I own two of her drawings, and I looooove them). It's all in French, but you should be able to understand everything with the pictures.
Hey ! Aujourd'hui, je vous parle des blogs d'une de mes copines de fac. Il n'y a pas beaucoup de texte et elle dessine tout elle même (J'ai deux de ses dessins, et je les adoooore.)
(If you're wondering, I'm in the one in the in the bottom right-hand corner on today's - Feb. 24 - post. =D)
(Si vous voulez savoir, je suis en bas à droite sur le strip du 2nd blog daté du 24 Février. =D)
(Les deux dernières images viennent de Disney Ladies From Last Night (Lien au dessus). C'est tout en Anglais, malheureusement, mais ça ne vous empêche pas d'aller y jeter un oeil !)
Atlanta would be a nice place to live, if it weren't for the magic. When the magic is up, rogue mages cast their spells and monsters appear, while guns refuse to fire and cars fail to start. But then technology returns, and the magic recedes as unpredictably as it arose.
Kate Daniels works for the Order of Knights of Merciful Aid, officially as a liaison with the mercenary guild. Unofficially, she cleans up the paranormal problems no one else wants to handle - especially if they involve Atlanta's shapeshifting community. When she's called in to investigate a fight at the Steel Horse, a bar on the border between the territories of the shapeshifters and the necromancers, Kate quickly discovers that there's a new player in town. One who's been around for thousands of years - and who rode to war at the side of Kate's father. This foe may be too much even for Kate and Curran, the Beast Lord, to handle. Because this time Kate will be taking on family.
Magic Bleeds is my favorite Kate Daniels book so far. I can’t even begin to say all the things I love in this one., but I’ll try, because I’m courageous.
Erra. She is the kind of crazy aunt you love to hate until she kills you. I’m pretty sure she’s not that bad, she just needs a little love. (Just kidding. She’s a freaking psychopath.)
Curran. My, oh, my, how can a man be that much of an asshole at moments and that dreamy at others ? If you have the answer, tell me, please. (I’m not kidding. I want to know.)
Kate. Poor sweetie, I wanted to hug her nearly every page of this book. She’s so sad and bitter, and then hurt and scared, it’s not even funny. That said, she keeps the snark level so high you might need a swimming pool to collect it all.
The end was perfect. It was cute, and funny, and my heart sang a little song full of joy and contentment.
Yup, Magic Bleeds is my book for when I feel down, sad and lonely.
Quotes :
-“I can't give you the white picket fence, and if I did, you'd set it on fire.”
-“Just wait until he figures out I shut him out of his slut hut.”
-“I just had to stay cool. Zen. No punching in the face. Punching would not be Zen.”
Kate Daniels va avoir du boulot pour rétablir l'ordre au sein des communautés surnaturelles.
Un étrange personnage vêtu d'une cape s'amuse à répandre une espèce de peste magique et virulente qui rend les Changeformes fous. Alors que ce personnage, surnommé le Mary d'Acier, sème la panique un peu partout en ville, Kate découvre que celui qui se cache derrière tout ça a un lien avec sa propre famille...
Blessure Magique est mon Kate Daniels préféré, pour l’instant. Je vais avoir du mal à rassembler mes pensées assez pour dire tout ce que j’ai aimé, mais je vais essayer.
Erra. C’est le genre de tante absolument tarée que tu aimes détester jusqu’à ce qu’elle te tue. Je suis presque sûre qu’elle est pas si méchante que ça, au fond elle doit avoir besoin qu’on l’aime... (Nan, je déconne, elle est complètement cintrée, décrochée de la cafetière.)
Curran. Mon Dieu, mon Dieu, comment un gars peut-il être un tel connard à certains moments et un rêve sur pattes à d’autres ? Si vous savez, dites le moi, hein. (Je blague pas, je veux savoir.)
Kate. La pauvre chérie, j’ai eu envie de lui faire un gros câlin de la mort qui tue à chaque page. Elle est triste et un peu amère, et puis blessée et terrifiée, c’en est même plus drôle. Ceci dit, elle reste très ironique dans ce tome, tellement qu’on pourrait avoir besoin d’une piscine olympique pour en recueillir une telle dose.
La fin... La fin est parfaite. C’est mignon, drôle, et mon coeur a chanté quelques notes dans son bonheur et dans son contentement.
Ouaip, Blessure Magique est le livre dont j’ai besoin quand je suis triste, démoralisée et fatiguée.
Quelques citations :
-Kate Daniels, épéiste hors pair. Tremblez devant mon terrible petit doigt.
-Je lui offrirai une tasse de café et une grosse tarte à la mandale.
-Entre la porte et l'entrée, l'asphalte était couvert de traces de sang, d'alcool, de verre brisé et de quelques corps dans des états divers d'ébriété et de dommages physiques. Merde! J'ai raté tout le fun.
I indulged myself a third one because Within Temptation is one of my favorite bands ever. Plus, these songs go quite well with the Kate Daniels Series.
Je me suis permis trois chansons aujourd'hui, parce que Within Temptation est un de mes groupes préférés. En plus, j'ai le sentiment que ces chansons vont bien avec les Kate Daniels, donc c'est assez raccord.
When magic strikes and Atlanta goes to pieces, it’s a job for Kate Daniels…
Drafted into working for the Order of Merciful Aid, mercenary Kate Daniels has more paranormal problems than she knows what to do with these days. And in Atlanta, where magic comes and goes like the tide, that’s saying a lot.
But when Kate's werewolf friend Derek is discovered nearly dead, she must confront her greatest challenge yet. As her investigation leads her to the Midnight Games—an invitation only, no holds barred, ultimate preternatural fighting tournament—she and Curran, the Lord of the Beasts, uncover a dark plot that may forever alter the face of Atlanta's shapeshifting community…
THIS is the book where things start to get serious. Like, really. There is so much sexual tension in some passages that I nearly died.
I nearly died of laughter, too. Kate always was a funny one, but put her in a room with any character, Andrea, Derek, Curran or Saiman, and hysterical laughter ensues. I don’t count anymore the number of time someone from my family knocked at the door, looked at me and sighed because I was too incoherent to talk.
In this book, Kate is trying to keep her friend Derek from dying, all the while keeping Curran out : he doesn’t know, and she doesn’t want him to. Their relationship takes another step at the end of the book, and it makes every reader want more.
The branch of Hindu mythology used in Strikes is fascinating. I love Team Andrews’ ability to take any mythology and make it so it is normal to find it in their book, even if it is totally unexpected.
Only one quote this time, but it’s a big one :
"His Majesty needs a can-I girl anyway. And I’m not it.” “A can-I girl?” Andrea frowned. I leaned back. “ ‘ Can I fetch you your food, Your Majesty? Can I tell you how strong and mighty you are, Your Majesty? Can I pick out your fleas, Your Majesty? Can I kiss your ass, Your Majesty? Can I . . .” It dawned on me that Raphael was sitting very still. Frozen, like a statue, his gaze fixed on the point above my head. “He’s standing behind me, isn’t he?” Andrea nodded slowly. “Technically it should be ‘may I,’” Curran said, his voice deeper than I remembered. “Since you’re asking permission.”
La magie frappe et Atlanta menace de s’écrouler : c’est un boulot pour Kate Daniels.
Engagée par l’Ordre des Chevaliers de l’Aide Miséricordieuse, Kate a tant de problèmes paranormaux à régler ces derniers temps qu’elle ne sait plus où donner de la tête. Pourtant lorsque Derek, son ami loup-garou, est retrouvé presque mort, elle est confrontée à son défi le plus crucial : trouver l’auteur du crime et déjouer un sombre complot qui implique la communauté des Changeformes… Voilà qui n’arrange pas son planning !
CE livre est celui dans lequel les choses deviennent sérieuses. Genre, totalement. J’ai failli mourir à cause de la tension dans certains passages.
(Cette scène dans le jacuzzi...)
J’ai aussi failli mourir de rire. Kate est drôle, très drôle même, mais mettez la dans une pièce avec n’importe quel autre personnage (Andrea, Derek, Curran ou Saiman), et les fou rires sont assurés. Je ne compte plus le nombre de fois où un membre de ma famille a frappé à ma porte et m’a regardée en soupirant parce que je riais tellement que je n’étais même plus cohérente.
Dans ce tome, Kate essaie de sauver son ami Derek, tout en faisant en sorte que Curran garde son museau dans ses affaires : il n’est pas au courant de ce que s’est passé, et elle ne veut pas qu’il le soit. Leur relation avance encore un peu vers la fin du tome, et je vous promets que vous en voudrez plus.
La branche de la mythologie indienne qui apparaît dans ce tome est fascinante. J’adore la capacité des Andrews d’incorporer n’importe quel genre de mythologie dans ses livres, et que cela nous semble tout à fait normal.
Une seule citation, cette fois, mais elle est longue :
- Sa Majesté a besoin d'une fille "puis-je". Ce n'est pas moi. - Une fille "puis-je"? Je m'enfonçai dans mon siège. - Puis-je t'apporter à manger, Ta Majesté? Puis-je te dire à quel point tu es fort et puissant, Ta Majesté? Puis-je t'épouiller, Ta Majesté? Puis-je te lécher le cul, Ta majesté? Puis-je... Je me rendis compte que Raphaël était particulièrement immobile. Pétrifié, comme une statue. Son regard était rivé sur un point derrière ma tête. - Il est juste derrière moi, n'est-ce pas? Andrea hocha lentement la tête. - Techniquement, ça devrait être "pourrais-je", dit Curran d'une voix plus profonde que ce dont je me souvenais. Puisque tu demandes la permission.
I'm studying English, I mentionned it in the Welcome post. Today, I introduce you to my favorite play ever. It is a Shakespeare's one, one of his very few comedies. I'll spare you the book, but if you have a free night or afternoon and can spare a couple of hours, it would be a good idea to watch it. This is the 1993 version, directed by Kenneth Brannagh. The cast is really wonderful : Brannagh himself as Benedick, Emma Thompson as Beatrice, Kate Beckinsale (it was her first movie) as Hero, Robert Sean Leonard as Claudio, Denzel Washington as Don Pedro and Keanu Reeves as Don John. Why do I love it so much ? - Beatrice and Benedick. So much tension, I would be afraid to light a match : everything would go "Boom !". But there's so much feels between them (I won't talk about the hinted attempt at a relationship, that failed, or how I believe their relationship is much better than Claudio and Hero's because they actually knew each other before falling in love - I tend to sleep with my edition of the Oxford School about that play), and when they finally take the plunge, my eyes tear up from such feels.
- The snark. I hereby crown Beatrice and Benedick King and Queen of the snark. They just love to hate each other.
-The last thing I am going to mention is the poem that won my heart to the movie. In the book, we only come across it once, but it is important in the movie, in which we hear it three times : at the beginning, in the middle and at the end. At the beginning, it is said by Emma Thompson, who did the best poetry-reading performance ever. I'll just... Here :
What about you ? Have you ever seen it ?
Comme je l'ai dit dans le premier post, j'étudie l'Anglais.
Aujourd'hui, je vous présente ma pièce préférée au monde. Elle a été écrite par Shakespeare, et c'est une de ses rares comédies. Je vous épargne la lecture de la pièce, mais si vous avez une nuit ou un après midi de libre, vous pouvez regarder le film.
Je vous parle de la version de 1993, de Kenneth Brannagh. Le casting est génial : Brannagh joue Benedick, Emma Thompson joue
Beatrice, Kate Beckinsale (c'est son premier film) est Hero, Robert Sean
Leonard est Claudio, Denzel Washington campe Don Pedro et Keanu Reeves,
Don John.
Pourquoi est ce que je l'aime autant ?
-Parce que Béatrice et Benedick. Il y a tellement de tension entre les deux, j'aurais peur de craquer une allumette, parce que "Boom !". Il y a tellement de sentiments et de non dits entre eux (Je ne parlerais pas des allusions à une relation, qui aurait supposément raté, ou de mon sentiment personnel que leur couple est tellement mieux que celui de Hero et Claudio, parce qu'ils se connaissaient avant d'être ensemble - effectivement, il m'arrive de dormir avec mon édition du Oxford School sur la pièce), et que quand ils décident d'essayer d'être ensemble, j'en ai presque envie de pleurer.
("Il n'y a rien au monde que je n'aime plus que vous : n'est ce pas étrange ?")
-Pour l'ironie. Je couronne ici et maintenant Béatrice et Benedick Roi et Reine de l'ironie. Ils aiment se détester.
("Sa substance n'est que farce.")
-La dernière chose dont je vais parler est le poème qui m'a fait accrocher au film. Dans le livre, on ne le rencontre qu'une fois, mais il est plus important dans le film, où on l'entend trois fois : au début, au milieu et à la fin. Au début, il est dit par Emma Thomspon, qui est juste parfaite dans sa lecture.
J'ai été incapable de le trouver en VF, donc je vous invite à retourner un peu plus haut et à l'écouter en VO. Je vous mets cependant la traduction :
"Plus ne soupirez, mes belles,
Plus ne soupirez, Les hommes furent toujours volages Un pied à la mer, L’autre sur le rivage À une chose fidèles, jamais.
Plus de soupirs, Tournez-leur le dos, Faites sourires et entrechats, Et changez tous ces tristes mots En tradéridéra !
Non, plus de dépits, Ne chantez plus Ces airs moroses et attristés, Les hommes mentent Depuis toujours, Depuis la première feuille de l’été.
Plus de soupirs, Tournez-leur le dos, Faites sourires et entrechats, Et changez tous ces tristes mots En tradéridéra !"
Et vous ? Vous l'avez vu ? Si oui, vous l'avez aimé ?
Down in Atlanta, tempers – and temperatures – are about to flare…
As a mercenary who cleans up after magic gone wrong, Kate Daniels has seen her share of occupational hazards. Normally, waves of paranormal energy ebb and flow across Atlanta like a tide. But once every seven years, a flare comes, a time when magic runs rampant. Now Kate’s going to have to deal with problems on a much bigger scale: a divine one.
When Kate sets out to retrieve a set of stolen maps for the Pack, Atlanta’s paramilitary clan of shapeshifters, she quickly realizes much more at stake. During a flare, gods and goddesses can manifest – and battle for power. The stolen maps are only the opening gambit in an epic tug-of-war between two gods hoping for rebirth. And if Kate can’t stop the cataclysmic showdown, the city may not survive…
Sooo. Kate Daniels, book 2. What to say ? After reading the first one, I went through all the bookstores in my city, only to hear the same answer everywhere : « Sorry, we're out of stock. » Being my impatient self, I begged my Dad so he'll take me to the next big city. Once I got there, I charged through the library and got my grabby hands on it. (I may have danced with joy for a while.) Once I got back home, I stranded myself in my room and got lost in Kate's world. And I loved it. I loved the first book, but this one is the one that really sold me to the Andrew's team. The storyline was great, the snark is still here, Kate still funny and Curran is as handsome as ever. We get to know Ghastek and Derek more, and that's awesome : the first is annoying as hell, and the second is the big brother every girl would like to have. We meet Kate's new friend Andrea : I liked her almost from the start. It's nice to see Kate opening up to others and starting to live for real. We meet Bran, but I'm not talking about him, because he makes me want to cry. Every part featuring Kate and Curran is like chocolate topping on the chocolate brownie of life.
So, if you don’t know what to read... Just go.
A few quotes :
- "Alright Jeremy. Give me the salamander and I won't cut your head off." - "You've gone insane. All that peroxide in your hair finally did your brain in, Goldilocks."
- "We were screwed and he didn't even kiss us first."
Kate Daniels, mercenaire spécialisée dans le « nettoyage » des problèmes surnaturels, en a vu des choses inouïes... mais pas ça : un véritable tsunami d'énergie magique, durant lequel les dieux eux-mêmes vont revenir. C'est en s'engageant à retrouver des cartes volées à la Meute, le clan des Changeformes, qu'elle découvre que ces puissances divines entament un combat épique : elles s'affrontent dans l'espoir de renaître ! Kate doit tout faire pour éviter le cataclysme...
Alooors... Kate Daniels tome 2. Que dire ?
Quand j’ai fini le premier tome, j’ai parcouru toutes les librairies de la ville où j’habite, et j’ai reçu la même réponse à chaque fois, «plus en stock». Etant très impatiente de nature, j’ai supplié mon père de m’amener à la prochaine grande ville. Une fois arrivés, j’ai piqué un sprint à travers le Sauramps et ait grogné sur la personne qui voulait prendre le dernier exemplaire en rayon avant de mettre les mains dessus. (Il est possible, voire même très probable, que j’ai fait une petite danse de la joie.) Une fois rentrée chez moi, je me suis isolée dans ma chambre pour plonger dans le monde de Kate.
Et j’ai adoré. J’ai adoré le premier livre aussi, mais celui la m’a vraiment fait rejoindre le fanclub des Andrews. L’histoire en elle même était cool, l’ironie était toujours présente, Kate décape toujours autant et Curran semble gagner en connaritude (comment ça, c’est pas un mot?) à chaque fois qu’on le voit.
On apprend à connaître Ghastek et Derek un peu mieux, et c’est pas plus mal : le premier est assez sympathique, mais un peu agaçant, et le second est le frère que toutes les filles voudraient avoir. On rencontre Andrea, la nouvelle amie de Kate : je l’ai appréciée presque depuis le début. C’est sympa de voir Kate s’ouvrir aux autres et commencer à vivre. On fait aussi la connaissance de Bran, mais je ne parlerai pas de lui pour épargner mon petit coeur. Oh, et chaque partie où Kate et Curran se donnent la réplique est comme le glaçage au chocolat sur le brownie de la vie.
Alors si vous ne savez pas quoi lire, foncez.
Quelques citations :
- "Tu es devenu fou. Tout ce peroxyde dans tes cheveux a atteint ton cerveau, Boucle d'Or."
- "J'allais à la bataille en bus. L'Univers avait un sens de l'humour caustique." - "Je vais rester là, hors de portée et espérer que tu ne te souviennes pas de ma promesse de te casser la gueule."
Song for this book / Chanson pour ce tome : Stand my ground, Within Temptation
Today's songs are both from Daughtry. I first heard about the group when I went to see Nickelback in Paris on the 1st of September 2012, and I liked them a lot. Both of the songs are from their new album "Baptized". I hope you'll like them.
Les chansons que j'ai choisies aujourd'hui sont du groupe Daughtry.
La première fois que je les ai entendus, ils faisaient la première partie de Nickelback, à Paris. C'était le 1er Septembre 2012, et j'avais adoré.
Ces deux chansons font partie de leur nouvel album "Baptized". J'espère que vous allez aimer.
When the
magic is up, rogue mages cast their spells and monsters appear, while
guns refuse to fire and cars fail to start. But then technology returns,
and the magic recedes as unpredictably as it arose, leaving all kinds
of paranormal problems in its wake.
Kate Daniels is a
down-on-her-luck mercenary who makes her living cleaning up these
magical problems. But when Kate's guardian is murdered, her quest for
justice draws her into a power struggle between two strong factions
within Atlanta's magic circles.
The Masters of the Dead,
necromancers who can control vampires, and the Pack, a paramilitary clan
of shapechangers, blame each other for a series of bizarre killings—and
the death of Kate's guardian may be part of the same mystery. Pressured
by both sides to find the killer, Kate realizes she's way out of her
league—but she wouldn't have it any other way…
Soooo.
This book is the first from a series that I love with my whole heart. I
loved Kate from the first page, the first snarky comment and the first
black-coated blade she threw.
It was actually... 6 years ago.
(Wow. I didn’t think it was that long ago. I just remember being in
Junior High and picking it up because I liked the blurb. And I also
remember I wasn’t supposed to get a book that day because I got into a
fight with my Mom and she punished me. Silly little things, those
memories...)
Anyway, the beginning was a little rocky. I didn’t
get all the finest points of the world-building on the first read, but
the more I thought about it, the more it intrigued me. Magic waves ?
Sure, I’m in !
I was also a Kate/Curran lover from the beginning,
even if he was kind of an asshole in the first book. I couldn’t keep
myself from rooting for them. (And I love them with all my little
heart.)
A few quotes :
-“Here, Kitty, Kitty, Kitty...”
-“I
gave him my best cryptic smile. He did not fall down to his feet, kiss
my shoes, and promise me the world. I must be getting rusty.”
-“I
thought of telling him that if it wasn't for Oklahoman cowboys and
Mexican whores having a bit of fun, there would've been no Texans, but
that would be counterproductive.”
" À Atlanta deux réalités s'opposent : celle de la technologie et celle de la magie.
Pendant une vague magique, les mages sauvages lancent leurs sorts et des monstres apparaissent, les armes à feu refusent de fonctionner et les voitures ne démarrent plus. Puis la vague se retire aussi vite qu'elle est venue en laissant derrière elle toutes sortes de problèmes paranormaux.
Nous vivons une époque dangereuse. Mais dans le cas contraire, je serais au chômage. Quand les gens ont des ennuis qui relèvent de l'occulte et que la police ne veut ou ne peut pas régler, on fait appel aux mercenaires de la magie comme moi.
Mais quand un nécromancien anéantit la seule famille qui me reste, je n'attends plus les ordres et je dégaine mon sabre."
Alooors... Ce livre est le premier d’une série que j’aime de tout mon petit coeur. J’ai aimé Kate depuis la première page, le premier commentaire sarcastique et le premier poignard peint en noir qu’elle a lancé.
J’ai commencé cette série il y a... 6 ans. (Wow. C’est vraiment loin, en fait. Je me souviens être au collège et avoir choisi ce livre en particulier parce que j’avais aimé le résumé, même si la couverture était pas géniale géniale. Et je me souviens aussi que je n’étais pas supposée acheter un livre ce jour là parce que je m’étais battue avec ma mère et que j’étais punie. La mémoire, cette petite chose... Bref.)
Le début a été assez mouvementé. J’ai mis du temps à comprendre le monde dans lequel se passe l’histoire, mais plus j’y pensais, plus ça m’intriguait. Je veux dire, des vagues magiques ? B’sur, j’en suis !
J’ai adoré le couple que Kate forme avec Curran depuis le début, même s’il est vraiment un trou du cul dans ce tome. Je ne pouvais pas m’en empêcher, j’adorais leurs interactions. (J’aime vraiment ces deux là d’amour, en fait.)
Quelques citations :
-"Ici minou, minou."
- "Ah ! C’est vous, dit calmement la voix de Curran. Je croyais que c’était un éléphant."
- "Dans le doute, quand tu as besoin d’informations, cherche un indic et presse-le comme un citron.»
I’ve never done this before, so it is really new and a little tricky. I really hope it’s going to be alright and that we will all have fun.
I’m Marie, 18 going on 19 and little sister to a 25 years old brother. I’m currently studying English at my hometown College in the South of France, and I love it. I don’t think I am difficult to please : a book and a drink are enough for me. Well, even walking with my Ipod blasting some good songs in my ears can be Heaven.
This blog doesn’t have any particular purposes. I just wanted it to reflect my personnality as much as it could. I’ll try to post something every day, even if it is just a «Quote of the day», a «Song of the day», or rambling. On top of that, there also should be some reviews or suggestions of books and movies. And, of course, this is going to be as bilingual as possible, so most of the posts, I hope, are going to be both in French and in English. (I might use an over abundance of Gifs, too, because I am that kind of girl.)
I hope you’ll stick with me on this journey.
Marie.
Coucou tout le monde !
Bon, c’est la première fois que je fais ça, donc c’est assez nouveau et un peu compliqué. J’espère vraiment que tout va bien se passer et qu’on va tous bien s’amuser.
Je m’appelle Marie, j’ai 18 ans (bientôt 19), et j’ai un grand frère qui a 25 ans. J’étudie l’Anglais dans ma ville natale du Sud de la France, et franchement, je m’éclate. Je ne crois pas être une difficile : un livre et un verre de n’importe quoi suffisent à me rendre heureuse. Même marcher avec mon Ipod et ma musique dans mes oreilles me contente.
Ce blog n’a pas de dessein particulier. Mon seul souhait est qu’il reflète au maximum qui je suis. J’essaierai de poster quelque chose chaque jour, même si ce n’est qu’une «Chanson du jour» ou qu’une «Citation du jour». Avec ça, j’espère poster quelques avis et recommandations de livres et de films. Comme je l’ai déjà dit, j’étudie l’Anglais. C’est pour cette raison que la majorité des posts seront bilingues. (Et, bien sur, surchargés de Gifs, parce que je suis ce genre de fille.)
J’espère que vous resterez patients et que vous m’accompagnerez durant ce voyage.
