When magic strikes and Atlanta goes to pieces, it’s a job for Kate Daniels…
Drafted into working for the Order of Merciful Aid, mercenary Kate Daniels has more paranormal problems than she knows what to do with these days. And in Atlanta, where magic comes and goes like the tide, that’s saying a lot.
But when Kate's werewolf friend Derek is discovered nearly dead, she must confront her greatest challenge yet. As her investigation leads her to the Midnight Games—an invitation only, no holds barred, ultimate preternatural fighting tournament—she and Curran, the Lord of the Beasts, uncover a dark plot that may forever alter the face of Atlanta's shapeshifting community…
THIS is the book where things start to get serious. Like, really. There is so much sexual tension in some passages that I nearly died.
I nearly died of laughter, too. Kate always was a funny one, but put her in a room with any character, Andrea, Derek, Curran or Saiman, and hysterical laughter ensues.
I don’t count anymore the number of time someone from my family knocked at the door, looked at me and sighed because I was too incoherent to talk.
In this book, Kate is trying to keep her friend Derek from dying, all the while keeping Curran out : he doesn’t know, and she doesn’t want him to. Their relationship takes another step at the end of the book, and it makes every reader want more.
The branch of Hindu mythology used in Strikes is fascinating. I love Team Andrews’ ability to take any mythology and make it so it is normal to find it in their book, even if it is totally unexpected.
Only one quote this time, but it’s a big one :
"His Majesty needs a can-I girl anyway. And I’m not it.”
“A can-I girl?” Andrea frowned.
I leaned back. “ ‘ Can I fetch you your food, Your Majesty? Can I tell you how strong and mighty you are, Your Majesty? Can I pick out your fleas, Your Majesty? Can I kiss your ass, Your Majesty? Can I . . .”
It dawned on me that Raphael was sitting very still. Frozen, like a statue, his gaze fixed on the point above my head.
“He’s standing behind me, isn’t he?”
Andrea nodded slowly.
“Technically it should be ‘may I,’” Curran said, his voice deeper than I remembered. “Since you’re asking permission.”
La magie frappe et Atlanta menace de s’écrouler : c’est un boulot pour Kate Daniels.
Engagée par l’Ordre des Chevaliers de l’Aide Miséricordieuse, Kate a tant de problèmes paranormaux à régler ces derniers temps qu’elle ne sait plus où donner de la tête.
Pourtant lorsque Derek, son ami loup-garou, est retrouvé presque mort, elle est confrontée à son défi le plus crucial : trouver l’auteur du crime et déjouer un sombre complot qui implique la communauté des Changeformes…
Voilà qui n’arrange pas son planning !
CE livre est celui dans lequel les choses deviennent sérieuses. Genre, totalement. J’ai failli mourir à cause de la tension dans certains passages.
(Cette scène dans le jacuzzi...)
J’ai aussi failli mourir de rire. Kate est drôle, très drôle même, mais mettez la dans une pièce avec n’importe quel autre personnage (Andrea, Derek, Curran ou Saiman), et les fou rires sont assurés.
Je ne compte plus le nombre de fois où un membre de ma famille a frappé à ma porte et m’a regardée en soupirant parce que je riais tellement que je n’étais même plus cohérente.
Dans ce tome, Kate essaie de sauver son ami Derek, tout en faisant en sorte que Curran garde son museau dans ses affaires : il n’est pas au courant de ce que s’est passé, et elle ne veut pas qu’il le soit. Leur relation avance encore un peu vers la fin du tome, et je vous promets que vous en voudrez plus.
La branche de la mythologie indienne qui apparaît dans ce tome est fascinante. J’adore la capacité des Andrews d’incorporer n’importe quel genre de mythologie dans ses livres, et que cela nous semble tout à fait normal.
Une seule citation, cette fois, mais elle est longue :
- Sa Majesté a besoin d'une fille "puis-je". Ce n'est pas moi.
- Une fille "puis-je"?
Je m'enfonçai dans mon siège.
- Puis-je t'apporter à manger, Ta Majesté? Puis-je te dire à quel point tu es fort et puissant, Ta Majesté? Puis-je t'épouiller, Ta Majesté? Puis-je te lécher le cul, Ta majesté? Puis-je...
Je me rendis compte que Raphaël était particulièrement immobile. Pétrifié, comme une statue. Son regard était rivé sur un point derrière ma tête.
- Il est juste derrière moi, n'est-ce pas?
Andrea hocha lentement la tête.
- Techniquement, ça devrait être "pourrais-je", dit Curran d'une voix plus profonde que ce dont je me souvenais. Puisque tu demandes la permission.
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